TZIGAL QUARTET (Violon, 2 guitares et contrebasse )

TZIGAL QUARTET(Violon, 2 guitares et contrebasse ) Ces quatre musiciens se sont réunis avec l’envie première de jouer en formation acoustique et de partager exclusivement leurs diverses compositions. Forts de leurs expériences multiples où leurs univers musicaux se croisent, ils tissent avec richesse et exigence une musique influencée par l’esprit du Swing Manouche. Leurs sonorités, le timbre des instruments et le chant intérieur de chacun apportent des couleurs riches et variées de rythmes, d’harmonies, de mélodies. Ce sont également de grands improvisateurs qui sauront vous surprendre et vous faire partager leur plaisir musical. Les musiciens : Joan DELMONT (Violon), Richard GIUSTI (Contrebasse), Octave GOULEE (Guitare), Philippe PARANT (Guitare)
Réservation:
e-mail : jazzclubbrive@gmail.com
tél. 0687345426 ou 0675659906
Tarifs : 12 € adhérents, 14€ groupes, 8 € étudiants et 16 € autres

Détails de l'événement

Sanseverino électrifie sa guitare et branche ses « deux doigts dans la prise ».
Sur son nouvel album « Les deux doigts dans la prise » sorti le 15 octobre, le chanteur-guitariste Sanseverino joue une musique plus électrique qu’à l’accoutumée.

On connaissait Sanseverino surtout pour son style jazzy, la plupart du temps acoustique, et fortement inspiré de Django Reinhardt dont il est un admirateur inconditionnel.
Mais Sanseverino aime aussi le blues et le rock, comme il l’avait déjà laissé poindre dans l’album Montreuil / Memphis en 2017. Ce nouvel opus « Les deux doigts dans la prise » (Verycords) se branche encore un peu plus sur l’électricité, et nous entraîne sur les terres du rhythm and blues, de la soul, et du rock seventies.

Chanson française en mode funk-blues rock
*C’est peut-être là le secret de Sanseverino : faire le lien entre la musique anglo-saxonne des sixties et seventies et la chanson française à textes.

Écriture automatique et nonchalance jazzy
Même s’il est un chanteur engagé, les chansons de Sanseverino ne versent pas dans le militantisme affirmé. Et surtout, les paroles laissent libre cours à l’imagination, l’imprévu, le non calculé. Une écriture automatique et un esprit souvent loufoque qui pourrait bien lorgner du côté de Boris Vian ou Nino Ferrer.