2023

TREMPLIN ACTION JAZZ 2023

21 JANVIER 2023 AU ROCHER DE PALMER A CENON

L’objectif du Tremplin Action Jazz Nouveaux Talents est de porter sur le devant de la scène les nouveaux talents du jazz Néo-Aquitain. Il offre la possibilité aux groupes sélectionnés de jouer dans des conditions scéniques professionnelles et devant un large public.

Il est ouvert aux jeunes néo-aquitains de moins de 35 ans présentant exclusivement des compositions originales. Le but de ce Tremplin étant de «booster» la création, ce qui en fait sa spécificité et son originalité.

Récompenses Tremplin Action Jazz Nouveaux Talents 2023

Pour le vainqueur :

1. La labellisation du groupe «Grand Prix du Jury au Tremplin Action Jazz Nouveaux Talents 2023»
2. Une résidence rémunérée de 5 jours grâce au partenariat avec l’OARA, (captation et diffusion en direct du concert de sortie de résidence)
3. Prix «FIP» : 1 invitation à l’émission «Club Jazz à FIP»
4. Représentation de la Nouvelle Aquitaine à Rezzo grâce au partenariat avec le festival de Vienne (frais de déplacement + rémunération) en juillet
5. Invitation dans divers festivals partenaires du «Collectif Jazz Nouvelle Aquitaine»
6. Un reportage (interview) dans la «Gazette Bleue» d’Action Jazz
7. Une captation par la chaîne France 3 NoA (diffusion et rediffusions)
8. Une captation audio (prise directe à la console) de sa prestation
9. Une sélection de photos pour leur site
10. Autre surprise dévoilée lors de la remise des récompenses.

Pour les autres groupes :

1. La labellisation du groupe «Lauréat du Tremplin Action Jazz Nouveaux Talents 2023», «Prix Action Jazz», «Prix de la Note Bleue», «Prix de la découverte».
2. Invitation au festival «Eclats d’Email» à Limoges pour l’un des groupes.
3. Invitation dans divers festivals partenaires du «Collectif Jazz Nouvelle Aquitaine»
4. Un reportage dans la «Gazette Bleue» d’Action Jazz
5. Pour l’un des groupes : 1 résidence de 3 jours à Anglet et 1 programmation à l’Anglet Jazz Festival.
6. Une captation par la chaîne France 3 NoA (diffusion et rediffusions)
7. Une captation audio (prise directe à la console) de leur prestation
8. Une sélection de photos pour leur site.

Prise en charge des frais de transport :

Avec le soutien de : l’OARA

Partenaires du projet :

• Le Rocher de Palmer
• L’OARA
• FIP
• France 3 NoA
• le Conseil Régional Nouvelle Aquitaine
• le Conseil Départemental de Gironde
• Laborie Jazz

• La Gazette Bleue
• Anglet Jazz Festival
• l’Entrepôt
• le Pôle Evasion d’Ambarès
• Collectif Jazz Nouvelle Aquitaine
• Rezzo Jazz à Vienne.

Palmarès 2023

• Bruno ROUGEVIN-BAVILLE : piano, claviers
• Antoine BRUNET : basse & moog
• Félix FAVIEZ : batterie

LAPSUS EST UN TRIO RÉUNI AUTOUR DE COMPOSITIONS ORIGINALES QUI EMPREINTE A LA MUSIQUE
IMPRESSIONNISTE SON CHEMIN DE COMPOSITION, AU JAZZ MODERNE SA COMPLEXITÉ RYTHMIQUE, ASSOCIANT
CES STYLES DANS UNE EXPLOSIVITÉ AVANT-GARDISTE. LES TROIS MUSICIENS DÉROULENT UNE FRESQUE
ÉVOCATRICE ET HYPNOTISANTE.

Antoine BRUNET : Diplômé de l’Imep Paris College of Music et et de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, il débute la basse à l’âge de 11 ans et joue dans différentes formations de rock progressif et expérimental dans le sud de la France avant de déménager à Paris en 2016 où il collabore depuis avec de nombreux artistes de la nouvelle scène jazz-rock française.

Bruno ROUGEVIN-BAVILLE : Formé en piano classique et en écriture au CRR de Versailles, et en piano et composition jazz à l’IMEP puis au CRR de Paris, pianiste depuis l’âge de 5 ans, il fonde et participe à de nombreux projets de jazz et musique actuelles, pour lesquels il est autant pianiste ou claviériste que compositeur. Parmi lesquels Atacama, S.Time, Dune, Lapsus, et d’autres. Il compose pour Lapsus un répertoire singulier qui s’inspire autant de Debussy que des musiques électroniques et improvisées.

Félix FAVIEZ : Diplômé de l’Imep Paris College of Music, Il évolue en tant que batteur sideman sur la scène pop/rock, electro et jazz parisienne (Makeda Manne, Colibri, Yamacen Shade, Venus d’Argent…). Après 5 ans dans une école de jazz et une adolescence bercée par la musique électronique et le metal, il mêle ses influences pour créer une rythmique complexe et intense au service de la musique de Lapsus.

• Eddie DHAINI : guitare
• Aurélien GODY : contrebasse
• Baptiste CASTETS : batterie
• Loïc GUENNEGUEZ : trompette/Low Whistle

Mention spéciale du Jury pour le trompettiste Loïc Guenneguez

C’est parce qu’ils prennent la musique très au sérieux que les musiciens du Eddie Dhaini trio accordent autant d’importance au jeu. Ils jouent entre eux, et ils jouent pour le public. Ce jazz aux mélodies simples laisse toute sa place à l’expression personnelle. Un regard, une émotion, une note que l’on n’attendait pas est toujours pour eux une opportunité de
s’amuser. Eddie Dhaini compose avec sa sensibilité, son plaisir du rythme. Sa musique, elle se vit avec le cœur et avec le corps.
Pour ce qui est du jeu, c’est avec Baptiste Castets et Aurélien Gody et Loïc Guenneguez qu’il aime s’exprimer en toute liberté et prendre des risques. Pour eux, chaque morceau est une occasion d’explorer. Pour nous, chaque concert est unique

• Alexandre AGUILERA : flûtes traversières & saxophones
• Thomas GAUCHER : guitare & banjo
• Alexis CADEILLAN : basse électrique & contrebasse
• Emilian DUCRET : batterie

Nouvelle proposition du jeune flûtiste et saxophoniste Alexandre Aguilera, Holocène est probablement son projet  instrumental le plus personnel et intime à ce jour. Le nom de l’ensemble fait référence à l’époque géologique actuelle, ayant démarré dès la fin de la dernière période glaciaire il y a environ 11500 ans, et caractérisée par un réchauffement climatique progressif et par une forte hausse de l’action de l’Homme sur les écosystèmes. Réunissant à ses côtés Thomas Gaucher à la guitare, Alexis Cadeillan à la basse électrique et Emilian Ducret à la batterie, la musique d’Holocène puise son inspiration dans ces thématiques écologiques très actuelles : l’impact de l’Homme sur les écosystèmes, le dérèglement climatique, la course effrénée vers la modernité…

À travers des compositions originales imaginées pour quartet, liées par une utilisation récurrente de motifs thématiques, l’ensemble propose une musique au croisement entre le jazz le plus récent (John Hollenbeck, Sylvain Rifflet, Émile Parisien) et d’anciennes formes de musique afro-américaine. Bénéficiant du soutien de la DRAC Nouvelle Aquitaine et de l’association Jazz360, le projet a pu voir le jour en novembre 2021 lors d’une résidence de création à Cénac.

• Vincent LE BRAS : piano
• Pierre THIOT : saxophones alto & ténor
• Paolo CHATET : trompette
• Esteban BARDET : contrebasse
• Thomas GALVAN : Batterie

Au Moyen-Âge le mot « contrefet » désignait l’apparence difforme et extraordinaire d’un animal. Par extension, on a utilisé ce terme pour désigner toute oeuvre issue d’un processus de déformation et d’imitation. Dans le domaine poétique et musical, le mot trouve son équivalent dans le terme latin « contrafactum » qui désigne la pratique consistant à inventer un nouveau texte pour une mélodie préexistante. Six-cents ans plus tard aux États-Unis, les critiques de jazz ont forgé le terme « contrafact » à partir de l’anglais « counterfeit ». Cette nouvelle expression sert à désigner les compositions des musiciens s’amusant à
écrire une nouvelle mélodie sur des harmonies préexistantes. Fort de cet héritage étymologique, le quintette de jazz Contrefaçons propose une musique libérée du poids de la tradition du jazz et de la musique classique, assumant ses différents héritages. Les compositions et les arrangements du quintette trouvent leur originalité dans l’imitation et la transformation de la tradition, autrement dit dans sa contrefaçon.

• Jérôme MASCOTTO : saxophones ténor & baryton
• Frédéric RENOUX : claviers
• Valentin POULET : batterie

Novembre 2020.
Le spectacle est à l’arrêt en France, et avec lui la vie culturelle. Une odeur de nostalgie remplit l’espace.
Le projet « Mouvements infinis » voit le jour avec des compositions enregistrées au saxophone et aux synthétiseurs par Jérôme Masco, seul derrière le micro. Ces morceaux parlent du temps, du passé, du présent, du futur, et de l’espoir, celui dont notre époque a cruellement besoin, qui nous garde en mouvement et se rit du pouvoir. Les motifs y sont dominants, les ostinati et les cellules répétitives servent à construire un univers, à la croisée des chemins entre le jazz, la musique minimaliste et les musiques traditionnelles, où chaque brique musicale, aussi simple soit-elle, fait partie d’un tout. Aux côtés du saxophoniste et compositeur, nous retrouvons le pianiste-concertiste et expérimentateur Frédéric Renoux et le batteur et percussionniste Valentin Poulet, au jeu coloré et aérien.