Découverte du guzheng, en suspension entre Extrême-Orient et Occident, passé et modernité
Le chant et la virtuosité de Jiang Nan, en mano a mano avec la longue cithare tendue de 21 cordes, l’énergie stupéfiante du jeu, tantôt contenue, tantôt éclatante, le flot continu des variations sonores et toute la palette expressive de l’instrument.
La présence magnétique d’une artiste-orchestre.

Entrée libre, places limitées